Le câlin, c’est bon pour la santé et pour le développement de son enfant, et c’est désormais prouvé scientifiquement ! Alors ne vous en privez pas !
En effet, les récentes découvertes montrent que le câlin améliore notre bien-être par la libération de l’hormone du bonheur : l’ocytocine, et entraîne une chute du taux de cortisol, l’hormone du stress. Cela a un impact direct sur notre santé. La pression artérielle baisse, nous nous sentons mieux, apaisés.
Depuis l’enfance, on nous enseigne à aller à l’encontre de nos pulsions premières, à les maîtriser jusqu’à ne plus les ressentir. Cet élan, nous le refrénons par crainte du jugement, par peur du ridicule ou de la morale. La câlinothérapie nous propose de réparer ces manques et de nous faire revivre la sécurité du petit enfant. Entre traumatisme et bien-être absolu, les câlins ne sont pas un sujet quelconque. En manquer n’est pas anodin, cela fait souffrir, beaucoup. Dans une sécurité affective, un état d’esprit apaisé, un corps touché tombe moins malade. Le système immunitaire s’en trouve renforcé.
Alors avec vos enfants, et plus généralement à tout âge, profitez de ce cocktail magique, qui contribue à notre bien-être et alimente un cercle vertueux qui mène :
- à une diminution du stress
- au développement de l’empathie
- à une augmentation de la confiance
- au renforcement de l’attachement
- à la croissance de l’affection réciproque
- à un renforcement du système immunitaire
- à une connexion avec ses émotions
Mieux ! Les câlins et autres contacts affectueux développent le cerveau des enfants et font notamment maturer le cortex préfrontal, zone essentielle du cerveau. Catherine Gueguen, dans son livre Vivre heureux avec son enfant, nous explique cela avec plus de précisions. Selon elle, le “câlinage” :
- Modifie l’expression d’un gène qui renforce l’aptitude à faire face au stress et densifie les connexions de l’hippocampe. (action sur l’apprentissage, la mémoire)
- Favorise la maturation des lobes frontaux et des circuits cérébraux, ce qui agit positivement sur les facultés intellectuelles et affectives.
- Augmente la sécrétion du BDNF, la protéine vitale pour le développement du cerveau.
- Sécrète l’ocytocine, l’hormone du bonheur, et ainsi favorise l’empathie, l’amour, l’amitié, la coopération…
- Active le parasympathique, qui régule les émotions, apaise, et augmente la faculté de penser et de se concentrer.
La psychothérapeute Virginia Satir affirme que :
« Nous avons besoin de 4 câlins par jour pour survivre.
Nous avons besoin de 8 câlins par jour pour fonctionner.
Nous avons besoin de 12 étreintes par jour pour grandir. »
🙂
Source : http://papapositive.fr
Pour aller plus loin : La câlinothérapie – Une prescription pour le bonheur de Céline Rivière
Et une vidéo pleine de câlins !
ACHETEZ VOTRE PASS DU FESTIVALABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER
Write a comment:
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.